Kukum

Lauréat du prix du meilleur roman des lecteurs et lectrices Points 2023
Lauréat du prix Étincelles 2022
Lauréat du prix littéraire Nature Nomade 2021

Lauréat du prix VLEEL 2020
Lauréat du prix littéraire France-Québec 2020
Finaliste du prix Jacques Lacarrière 2020

Dans les médias

– Hélène Jouan dans Le Monde (6.08.2021)
– Choix de la rédaction de la version TV de La librairie francophone (27.12.2020)
– Invité du 64′, sur TV5Monde (17.12.2020)
– Invité de La Librairie francophone, sur France Inter (12.12.2020)
– François Lahu dans Le Progrès (27.11.2020)
– Valérie Lion dans Attache ta tuque/L’Express (22.11.2020)
– Thomas Faidherbe dans Livres Hebdo (18.11.2020)

« Venir me réfugier au lac, comme ce matin, m’apaise, car il me rappelle qui nous avons été et qui nous sommes toujours. Pekuakami : ta surface lisse se mêle à l’horizon, le soleil s’y mire comme dans une glace, et ce miroir me renvoie à tous mes souvenirs. »

Au soir de sa vie, sur les rives de Pekuakami – le majestueux lac Saint-Jean, au Québec –, Almanda remonte le fil de son existence, comme autrefois les rivières. Orpheline, elle est élevée par un couple de modestes fermiers qui la destine aux travaux des champs. Mais sa rencontre amoureuse avec un jeune chasseur innu va tout bouleverser : elle quitte alors les siens et rejoint le clan des Atuk-Siméon dont elle partagera le quotidien et auprès de qui elle apprendra à vivre en forêt.

Centré sur le destin singulier d’une femme éprise de liberté, ce roman relate, sur un ton intimiste, la fin du mode de vie traditionnel des peuples nomades du nord-est de l’Amérique, contraints à la sédentarité. Almanda Siméon est l’arrière-grand-mère de l’auteur, sa kukum.

Écrivain, journaliste à Montréal, Michel Jean est issu de la communauté innue de Mashteuiatsh.

Les illustrations des première et quatrième de couverture sont l’œuvre de l’artiste Olivier Mazoué.


Paru le 30 janvier 2020
ISBN : 978-2-902039-09-8
Format : 15 cm x 19 cm, broché, 236 pages
22 €

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Les lectrices et les lecteurs en parlent

 

« C’est un voyage temporel et géographique dans un monde qui n’existe plus. C’est beau, touchant, sincère et sensible. », lire.lyne, sur Instagram.

« D’une poésie rare et sans fioriture, la beauté calme du récit nous étreint dans une atmosphère doucereuse initiale, pour finir par retranscrire la tristesse amère d’une forêt dépecée. », Jade, sur Instagram.

« Les mots de Michel Jean m’ont émue. Ce récit intimiste, sans fioritures, empli d’humanité et d’amour m’a fait frissonner à plusieurs reprises, notamment lors des premières maternités d’Almanda. C’est beau tout simplement et c’est un vibrant hommage d’un homme à son arrière grand-mère et à ses racines. », Sonia, sur Instagram.

« Nous avons avons lu et aimé cette ode à la vie, à l’amour et à la liberté. Kukum, grand-mère, en langue innue, rend un hommage vibrant à une femme et un peuple malmené par la colonisation du Canada. Magnifique et nécessaire. », librairie Millepages, à Vincennes.

« Lire Kukum, c’est découvrir un paradis perdu et admirer une femme à la force tranquille et déterminée, c’est être choquée par l’éternelle arrogance et supériorité des blancs colonisateurs et être émue par ce témoignage bouleversant. C’est aussi une belle histoire d’amour. », Catherine, sur Instagram.

« Une merveilleuse ode à la nature, à la liberté et aux traditions ancestrales innues », Anne-Sophie, sur Instagram.

« Ce roman est d’une beauté absolue. [Il s’en] dégage beaucoup de douceur et de sérénité, de plénitude face à la beauté et à la grandeur de la nature. Du respect et de la reconnaissance aussi. », Natiora, sur Instagram.

« Sensibilité, douceur, dignité, même quand l’histoire se fait dure », Kirzy, sur Babelio.

« Kukum, c’est aussi un chant d’amour à ces grands espaces magnifiquement décrits dans une langue pourtant simple et sans ostentation ; ce qui rend ce roman si émouvant et sincère. », Myriam, sur son blog.

« Je referme lentement ce livre, emportant avec moi un peu d’Almanda, de cette belle âme, un peu de la plume pudique et délicate de Michel Jean, et comme le chant du vent, je n’ai qu’une envie, que ce propage la douceur de ce nécessaire récit. », Léna, sur Instagram.

« Une merveille. Douce, colérique, tambour battant sur l’onde pure d’un grand lac. », Camille, sur Instagram.

« Un roman bouleversant sur la disparition d’un monde qui grâce à la plume délicate de Michel Jean reprend vie dans le cœur de chaque lecteur. », Maud, sur Instagram.

« C’est l’un des plus beaux livres qu’il m’ait été donné de lire. Pour celles et ceux qui aiment les grands espaces, qui sont sensibles aux transmissions ancestrales, au temps qui passe, à l’amour, à la quête d’identité et de liberté, je vous invite à le découvrir. », Julia, sur Instagram.

« Kukum est un voyage aux confins de la nature sauvage et de soi-même », Jenck Franer, sur Instagram.

« La puissance des paysages, l’éthique des Indiens dans leur rapport à la nature, dans leurs existences difficiles… La rupture imposée par le rouleau compresseur du profit, rupture qui taille le roman sans transition, est insupportable et nous renvoie à nos crises actuelles écologiques et sociales (je pense aux Indiens d’Amazonie), à tous ces mondes, langages et mémoires perdus, détruits par une prédation mortifère. Merci pour cette très belle lecture qui percute l’actualité de manière incisive. », Catherine.

« Kukum rend hommage de manière vivace, te fait verser ta larme, te pose dans la beauté des bois et des lacs, te dit la simplicité éblouissante d’une vie, te chuchote la beauté innue et te rappelle à ta source première. », Fanny, sur le blog Aire(s) Libre(s).

« Ce roman est bouleversant, poignant, passionnant, captivant. Lire c’est voyager. Alors oui, j’ai fait un merveilleux voyage. Lisez-le ! », Sylvie, sur Instagram.

« Kukum rend hommage de manière vivace, te fait verser ta larme, te pose dans la beauté des bois et des lacs, te dis la simplicité éblouissante d’une vie, te chuchote la beauté innue et te rappelle à ta source première. », Fanny Nowak, sur Facebook.

« Très belle histoire qui me ramène à la mienne, à celle de devenir québécoise (depuis 9 ans à Montréal). C’est tout un cheminement de replanter ses racines dans un autre environnement, une autre culture. […] Je me retrouve beaucoup dans l’histoire d’Almanda et son besoin de liberté. », Emmanuelle.

« Écrit dans une langue douce et toujours délicate (même lorsqu’il s’agit d’écrire l’horreur), Kukum est un roman d’une grande beauté. C’est un roman intimiste et profondément humain. Un coup de cœur. », Muriel, sur Instagram.

« Une fois encore, on se rend bien compte que l’homme blanc n’a eu aucun respect pour ces peuples natifs. », Madame Tapioca, sur Instagram.

« Notre époque est encore remplie de leur [les peuples anciens] histoire et eux-mêmes sont toujours-là. À nous de savoir en voir les traces. », Jiemde, sur Instagram.

« Il est essentiel d’écouter et transmettre, pour toujours, les témoignages venue de cette Atlantide ensevelie. », Alexandre, sur le blogue Un dernier livre avant la fin du monde.

« Une magnifique histoire d’amour, un récit sur la vie des premières nations, ou bien un roman de littérature des grands espaces. Mais peu importe l’angle par lequel vous l’abordez tant que vous le lisez et l’aimez ! », Alicia, sur Instagram.

« Ce livre est un voyage, une rencontre riche en émotions avec la communauté autochtone, un bout de chemin avec les Innus de Mashteuiatsh, un témoignage fort d’une femme forte », Ghita, sur Instagram.

« Nous sommes tout comme Almanda, les témoins des ravages de la modernisation et de la colonisation. J’ai aimé cette façon de nous raconter cet autrefois à travers les yeux d’Almanda. Tout est poésie et beauté même lors des pires moments. », manonlit_et_vadrouilleaussi, sur Instagram.

« Un magnifique témoignage sur la culture amérindienne, une quête identitaire et un voyage ancestral sur les rives du majestueux lac Saint Jean au Québec. La lecture du portrait d’une femme exceptionnelle qui vous reste longtemps en tête ! », nine_entre_les_lignes, sur Instagram.

« Je viens de finir Kukum. C’est fort d’écrire de cette façon. Quelle sobriété dans le style. Et pourtant quelle puissance dans ces phrases si simples. », Aurély.

« Une belle évasion, qui m’a permis de beaucoup apprendre, de m’attacher aux personnages rencontrés et qui me fait rêver à une immersion dans la nature de [ces] contrées. », chips7, sur Instagram.

« Un récit d’actualité tant la nature, la femme et les minorités sont mises en avant. », Pierre-Yves.

« Faire corps, toute la culture innue semble là, en effet. Faire corps avec la forêt, faire corps avec la terre, faire corps avec le fleuve, faire corps avec le lac, faire corps avec les animaux, faire corps avec la famille, faire corps avec la communauté. », Claire Tstt, sur Twitter.

« Je viens d’achever la lecture de ce livre magnifique qui mêle avec sensibilité un mode de vie et une vie qui s’achèvent. Au travers de l’écriture c’est un paysage tout entier qui se dessine et qui fait écho à la liberté du personnage. », Axel le Namnète, sur Facebook.

« Une écriture épurée tout en délicatesse et un hommage vibrant de sincérité à sa kukum, son arrière grand-mère Almanda, intrépide, passionnée de lecture, férue de chasse et amoureuse de l’amour. Somptueux et envoûtant. », Joalie.donc.je.suis, sur Instagram.

« Quel magnifique roman ! Tant sur la forme que sur le fond, c’est un sans faute. Un petit bijou que je serai bien contente de pouvoir partager avec mes enfants lorsqu’ils seront plus grands. », Dedanso, sur Babelio.

« C’est un livre qui révolte, un livre qui interpelle et en même temps un livre qui apaise grâce à cette force qui transparaît d’Almanda, de son opiniâtreté et peut-être via un certain espoir : la vie est un cercle. », Léa Touch Book, sur son blogue.

« Et que dire de la description de la colonisation et de la destruction de la vie de ce peuple, on a les poings qui se referment dans les poches et pourtant cette kukum garde dans sa révolte une dignité incroyable. », Christian B.

« Teinté de nostalgie, ce récit est empli d’humanité et montre bien l’importance de raconter l’histoire de ces peuples premiers, car c’est un pan de l’histoire bien trop souvent passée sous silence. », roses_et_confettis, sur Instagram.

« Un livre vraiment magnifique, un gros coup de cœur et j’espère qu’il aura le succès qu’il mérite. », Pat0212, sur Babelio.

« J’ai été éblouie par ce texte, émue par ces vies dont l’arc se brise, admirative de cette prose qui fait l’éloge des choses belles et simples. », Moonpalaace, sur Instagram.

« L’histoire d’une résilience, de celles qui vous font devenir autre en toute loyauté. Un voyage immersif où sont convoqués tous nos sens pour une expérience étonnante au Péribonka. », Lectures_sur_ordonnances, sur Instagram.

« Désormais, lorsque la nostalgie s’invitera, nous pourrons inlassablement revenir en pensée sur les berges de ce lac immense, les pieds chatouillant le sable et la tête contre l’épaule d’Almanda, nous nous laisserons porter par le flot de ses mots. », Lishbks, sur Instagram.

« Cette histoire, vous devez absolument la lire. Vous devez également la faire lire à votre entourage. Parce que le passé a de ces leçons incomparables pour engendrer un présent et un avenir meilleurs… », Mélanie Bergeron, sur Fille en quarantaine.

« La prose vivante et au style simple du journaliste, ayant le sens du récit propre à son métier, rend l’histoire de la vie d’Almanda Siméon captivante et contemplative en même temps. », Anders Turgeon, sur son blogue.

« Cette kukum nous présente un aperçu de la liberté et on y saute à pieds joints. », Shannon Desbien, dans Les libraires.

« Michel Jean a ce don inné pour nous faire passer par toute la gamme des émotions ! », Karine Paradis, dans Mitsou Magazine.

« J’ai lu beaucoup de romans et de documentaires sur la vie des gens des premières nations. Mais on dirait qu’avec celui-ci, pour la première fois, j’ai Compris. Compris avec un grand « C ». Compris avec ma tête, certes, mais aussi avec mon cœur. », Karine, sur Mon coin lecture.

« Une écriture belle, fluide et immersive. » Et Almanda ? « C’est une badass, mes amis ! », MH La Lectrice, sur sa chaîne Youtube.

« Et c’est toute l’histoire d’une région, de ses gens, qu’ils soient pionniers ou autochtones, qui s’illumine grâce à sa prose. », Marie-France Bornais, dans Le Journal de Québec.

« J’ai beaucoup appris sur les Innus de Pekuakami et leur mode de vie. J’ai vraiment pris plaisir à me plonger dans la vie de ce peuple autochtone. », Brigitte Demers, sur Le temps d’lire.

« Sublime histoire d’un peuple ! Almanda une femme forte, une aventurière inspirante ! », Shirley Noel, sur Info-culture.biz.

© Olivier Mazoué, Sans titre, 2019.