Petite femme montagne

« Je tirais mon pouvoir des montagnes et j’ai choisi de vivre dans le désert. »

Un texte coup de poing. Terese Marie Mailhot y parle de son enfance sur la réserve, du lien indéfectible qui l’unit à sa mère et à ses fils. De son père abuseur. De son mari, également écrivain, et de leur amour « impossible et nécessaire ». De la haine de soi, aussi. Tous ces errements, toute cette « immense, majestueuse douleur », l’autrice les a sublimés dans un récit puissant qui témoigne de son admirable capacité à renaître au monde. Considérée par la critique outre-Atlantique comme « l’une des œuvres canadiennes les plus importantes de notre siècle », Petite femme montagne est un hommage à la résistance, souvent silencieuse, des femmes autochtones aux violences qui leur sont faites.

La traduction en français depuis l’anglais du Canada est le fruit du travail méticuleux d’Annie Pronovost.

Les illustrations des première et quatrième de couverture sont l’œuvre de l’artiste Olivier Mazoué.

Paru le 27 mai 2022
ISBN : 978-2-902039-28-9
Format : 15 cm x 19 cm, broché, 176 pages
20 €

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Les lectrices et les lecteurs en parlent

« Ne passez pas à côté de cette fulgurante pensée féministe ! T. M. Mailhot signe un récit puissant, courageux et intime où sont abordés les sujets au fondement de la vie. Sa langue brute, sans concessions, circonscrit la violence pour lui arracher le souffle nécessaire à la survie. Mêlant âpreté et beauté, ce texte est appelé à devenir un classique ! », librairie Millepages, à Vincennes.

« Brut et riche d’images vives, [ce texte] explore les traumatismes intergénérationnels et le chagrin transmis avec une lucidité magistrale. À lire absolument ! », Mathilde Caër, sur Instagram.

« Avec sa prose de combat traversée de fulgurances expressives et de phrases qui claquent, Petite femme montagne exprime toute l’urgence d’une vie qui a été sauvée par l’écriture, d’une âme en ébullition qui propose une nouvelle façon de penser le passé, le traumatisme et la réconciliation avec soi hors des sentiers battus. Une lecture coup de poing écrite par une femme qui assume ses faiblesses et ses forces. », Kirzy, sur Babelio.

« Elle est la blessure, elle est le pouvoir. Elle n’oppose pas la force et la faiblesse elle les lie intrinsèquement. », Amélie, sur Instagram.

« Présentés sous la forme de mémoires, Petite femme montagne constitue l’une des œuvres canadiennes les plus importantes de notre siècle », Ian McGillis, La Gazette.

« Voici une femme montagne, qui se dresse dans les mots grands et simples. Elle écrit sur la maternité, la perte, l’absence, le désir, la souffrance, l’amour, la maladie mentale, la trahison et la survie. Elle le fait sans tressaillir, mais dire qu’elle est courageuse serait mal la comprendre. Ces mots sont intensément intimes, captivants, magnifiquement écrits, mais ne tombent jamais dans l’excès. Ce que Mailhot a accompli dans ce livre exquis est d’une brillance à la fois crue et raffinée, un testament. », Roxane Gay, autrice de Hunger : une histoire de mon corps, paru chez Denoël en 2019.

© Olivier Mazoué, Sans titre, 2022