Atuk

Elle et lui. Elle, c’est Jeannette, fille d’Almanda et Thomas. Lui, c’est Michel, son petit-fils. Deux personnages qui, à distance, narrent leur propre histoire. Elle, se remémore sa jeunesse, passée entre les lacs et les forêts de son territoire ancestral, le Nitassinan, jusqu’à son mariage qui la conduit à quitter les siens et à s’installer en ville. Lui, journaliste à Montréal, vient se recueillir sur sa dépouille à elle, et s’interroge sur son identité. Car l’Indien, lui dit-on, il l’a en lui…

Dans le sillage de Kukum, et avec la même sincérité, cet émouvant dialogue à travers le temps et l’espace redonne vie aux riches heures de la culture innue et questionne son devenir actuel.

Les illustrations des première et quatrième de couverture sont l’œuvre d’Olivier Mazoué.

Paru le 24 juin 2022
ISBN : 978-2-902039-26-5
Format : 15 cm x 19 cm, broché, 235 pages
20 €

ACHETER CE LIVRE

Ce livre peut être commandé en librairie. Si vous préférez le recevoir chez vous, c’est par ici.

Également disponible au format numérique ici ou sur toutes les plates-formes de téléchargement légal à 13,99 €.

Dans la presse

  • Nathalie Slupik, « La réécriture d’une histoire actuelle », dans Bible urbaine (31 mai 2021)
  • Dominic Tardif, « Michel Jean est un écrivain innu », dans Le Devoir (8 mai 2021)

Les lectrices et les lecteurs en parlent

« Lire Michel Jean c’est comprendre un peu mieux l’histoire du Québec et cette cohabitation chaotique entre ces Blancs venus d’Europe et les Indiens autochtones et l’on devine que les questions d’identité sont toujours d’actualité et les blessures profondes », Anne, sur Instagram.

« Atuk est un très beau roman de transmission entre une grand-mère et son petit-fils qui permettra à quiconque de mieux connaître le grand Canada et son histoire. », librairie Livre-Moi, à Genève.

« Atuk referme le cercle. Michel Jean réunit les siens dans un dialogue vibrant d’émotion et de vérité au fil de cette passionnante passerelle temporelle. Ne vous fiez pas à son apparente douceur, Atuk est un livre de combat contre l’oubli. La tentative de tuer l’Indien pour soi-disant sauver l’homme a échoué. », librairie Millepages, à Vincennes.

« D’Elle à Lui Michel Jean restitue à la fois son parcours personnel et les savoirs ancestraux, dans sa très belle langue à la puissance évocatrice et où chaque mot est pesé », Florence, sur Instagram.

« C’est beau, pudique et toujours aussi envoûtant. Et un grand voyage dans le Canada sauvage. », Les consultations littéraires, sur Instagram.

« Souvenirs d’un monde disparu d’un côté, introspection touchante et sincère de l’autre. J’aime l’équilibre de ces deux voix qui se répondent. Et j’aime la façon dont cet auteur met sa voix d’homme au service des voix des femmes du peuple innu dont il fait les héroïnes de ses livres. », Émilie, sur Instagram.

« Michel Jean est un conteur sensible, tout en retenue. Son écriture pudique, simple, minimaliste enveloppe le lecteur de douceur. On remarque à peine son écriture pour se focaliser sur le récit. Moins de mots mais chaque mot en dit plus, les silences disent beaucoup. », Kirzy, sur Babelio.

« D’une écriture limpide et sensible, Atuk est un merveilleux texte sur la mémoire, au travers du deuil et du souvenir. Alternant les points de vue, dressant les paysages comme des personnages, Michel Jean nous brosse une autofiction qui se veut à la fois tendre et sensible. Un récit magnifique, que je vous encourage à découvrir ! », Thomas, libraire (M’Lire à Laval), sur Instagram.

« J’ai adoré cette lecture, tant pour les émotions qu’elle provoque que pour l’analyse qu’elle permet. Je chéris tout particulièrement les moments de compréhension muette entre Almanda et Jeannette qui m’ont tellement émue. Je dois le dire, j’ai eu bien du mal à laisser s’envoler cette merveilleuse hirondelle. », Amélie, sur Instagram.

« Lire Michel Jean c’est toujours avoir l’impression qu’il s’adresse à nous comme si nous étions un proche, c’est s’asseoir avec lui au coin du feu pour entendre ce qu’il sait d’un temps révolu qu’il retient dans son âme et sa mémoire. », Stéphanie, sur Instagram.

« J’ai retrouvé dans Atuk ce style tout en retenu, celui de Kukum, comme si l’écrivain avait retenu les leçons faites à l’enfant trop bavard, trop intrusif dans ses questionnements. Un style juste, sans excès, sans colère, sans pathos, une écriture pudique qui fixe les silences. », Claire, sur Instagram.

© Olivier Mazoué, Sans titre, 2022