De vengeance

« Comme la vengeance demande de l’énergie et du risque, il faut faire des choix. On ne peut pas punir tout le monde. On ne peut pas éliminer tout le monde, même si, à un moment ou un autre, ils finissent tous par vous taper sur les nerfs. Mais on peut se faire plaisir. »

Peut-on avoir de bonnes raisons de tuer son prochain et, pire encore, de s’en réjouir ? Selon la narratrice de ce roman, une jeune femme discrète au visage angélique, cela ne fait aucun doute. Le plus dur, pour nous, c’est de ne pas être d’accord avec elle…

Les illustrations des première et quatrième de couverture sont l’œuvre de l’artiste Olivier Mazoué.

Paru le 13 janvier 2023
ISBN : 978-2-902039-34-0
Format : 15 cm x 19 cm, broché, 167 pages
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Dans la presse

  • Quinn Mason, « Natural Born Killer », dans Montreal Review of Books (3 novembre 2019)
  • Julien Alarie, « Le journal intime d’une meurtrière désopilante », La Recrue (15 février 2018)
  • Michel Bélair, « La vengance anonyme selon J. D. Kurtness », dans Le Devoir (23 septembre 2017)

Les lectrices et les lecteurs en parlent

« Étonnamment, cette narratrice absolument atroce apparaît presque comme sympathique sous la plume enlevée et ciselée de son autrice. Sans doute parce que cette dernière la dote d’un humour grinçant à l’acidité redoutable et ultra efficace pour ceux qui goûtent cette forme d’humour. Ces réflexions sont aussi indignes et odieuses que désopilantes. Certes la meurtrière est une misanthrope rageuse au dernier degré mais ses “irritants” qui la poussent au passage à l’acte peuvent être les nôtres. », Kirzy, sur Babelio.

« Un texte qui dérange, qui appuie là où ça fait mal et qui vient secouer notre conscience et notre morale. », Jean-Marc, sur Instagram.

« Dans la lignée d’un American Psycho, c’est aussi un récit sur les travers de notre époque, sur les abus de nos contemporains qui nous est livré, la satire sociale y est omniprésente. », Claire, sur Instagram.

« On lit chaque chapitre avec délectation, entrant dans la tête d’une narratrice dont l’apparence angélique cache un cœur rempli de dégoût et de rage envers les êtres médiocres et malfaisants. Avec une plume aussi acérée que les plans machiavéliques qu’elle imagine pour assouvir sa soif de vengeance, la tueuse met en scène la haine sourde que chacun porte en lui. », Annabelle Moreau, dans Châtelaine.

« L’auteure réussit un équilibre presque parfait entre la froideur de sa narratrice et son intelligence lucide, ce qui nous la rend presque sympathique. Comme dit le dicton, la vengeance est douce au cœur de l’Indien. », Mario Cloutier, dans La Presse.

« Un roman noir doté d’une rare force de frappe dont le mérite, voire l’audace, est d’abord de rompre avec plusieurs sujets de prédilection de la littérature autochtone », David Laporte, dans Nuit blanche.

« Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se déroulait dans la tête d’une jeune tueuse en série de 12 ans ? Vivez l’immersion grâce à ce sublime roman de J.D. Kurtness. Ce récit est captivant et grinçant ; il est vraiment facile de tomber sous le charme… étonnant ! », Naomi Auger, sur Clin d’œil.

« L’auteure s’en sort à merveille dans ce roman d’une grande noirceur qui explore les tréfonds de l’âme humaine dans notre société actuelle. Elle nous offre même un final complètement dingue mais rondement mené. », Amandine, sur Les lectures d’Amandine.

© Olivier Mazoué, Sans titre, 2022